Ce message personnel visait à expliquer que certains ont des obligations tout à fait valables qui justifient une intervention raccourcie de la part du ministre des finances.
Néanmoins, je répondrai brièvement à quelques orateurs.
Je tiens d'abord à m'adresser à toutes celles et tous ceux qui ont, dans un mouvement généreux et solidaire, accompagné le soutien à l'action du Gouvernement dans cette importante politique de réforme du financement de la protection sociale. Ce n'est pas le cas du président Cahuzac, mais il a rappelé à juste titre que le fait majoritaire doit toujours s'imposer. À ce propos, je me dois de dire aux honorables parlementaires ici présents que les tours de passe-passe – ceux d'hier à la commission des finances et ceux, un peu plus dilatoires, à travers la défense d'une motion référendaire, contestée par le candidat socialiste lui-même, sur les sujets proposés – donnent un peu le vertige, un peu le tournis et quelque part un sentiment de malaise. (Protestations sur les bancs du groupe SRC.)