Comment ne pas considérer que ces deux mesures – hausse de TVA et CSG – très ciblées, très calibrées sur la tranche de salaires la plus concernée par le « produire en France », si elles ne prétendent ni répondre à tout ni être l'alpha et l'oméga d'une politique industrielle, s'inscrivent dans une perspective plus générale ? Comment ne pas reconnaître que ces deux mesures répondent à ce qu'exige notre situation actuelle, extrêmement difficile, et celle de l'Europe, extrêmement fragile ? Bref, comment ne pas admettre que ces deux mesures répondent au minimum à l'incertaine marche du monde dans lequel nous vivons ? (Applaudissements sur les bancs du groupe UMP.)