Ce n'est pas la TVA sur les produits de première nécessité qui est la première visée. Depuis Maurice Duverger, on sait que la TVA peut faire des différences entre les produits de première nécessité et les autres.
Je ne parle pas de la TVA sur les produits exportés, mais de la TVA sur tous les produits importés, pour un montant supplémentaire de 1,6 %, en contrepartie d'allégements pouvant aller jusqu'à 5,4 % du coût du travail manufacturé.
Tout ayant été dit sur l'état de la concurrence vive qui exclut – je reprends le terme – tout risque « significatif » de dérapage inflationniste… Allez, on va vous accorder un 0,4 %, si vous le voulez bien !