Monsieur le Premier ministre, votre majorité, sur ordre du Président de la République, a commencé son mandat par des cadeaux exorbitants aux plus riches.
Nous n'avons cessé de les dénoncer, et c'est contraints et forcés, sous la pression populaire, que vous avez consenti à supprimer le bouclier fiscal, en prenant bien soin toutefois d'amortir cette mesure par un allégement de l'impôt sur la fortune. (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe SRC.)
Toujours sur ordre du Président redevenu candidat, vous terminez ce mandat en augmentant l'impôt le plus injuste qui soit (« Eh oui ! » sur les bancs du groupe SRC), la TVA, que vous qualifiez de sociale.