Non. Les participations seraient portées par l'intermédiaire d'un établissement de crédit, qui disposerait des outils et des moyens pour assurer l'adossement financier et opérationnel de DexMA. Cet établissement serait distinct de la joint venture envisagée avec la Banque postale avec qui nous envisageons toujours de créer un établissement de crédit dont la finalité serait de distribuer des financements aux collectivités et qui serait adossé, pour ses emplois éligibles, aux refinancements levés par DMA sur les marchés obligataires. La nouveauté, par rapport à novembre, tient à l'entrée de l'État au capital de la société de refinancement. De la sorte, la Caisse des dépôts n'est plus seule pour assurer le risque du portefeuille de 80 milliards d'euros hérité de Dexia.