Vous avez expliqué que l'Amérique latine avait bien résisté à la crise, que les investissements directs étrangers y étaient plus dynamiques que partout ailleurs, leur progression atteignant 50 % entre 2009 et 2011. Pouvez-vous nous indiquer la part des investissements français en leur sein ?
Vous avez suggéré que la France développe un axe privilégié avec le Brésil, pays où les groupes français sont les mieux implantés. Cette orientation ne risque-t-elle pas de marginaliser des partenaires prometteurs, comme l'Argentine ?