Chacun, monsieur le député, connaît votre engagement, votre implication, vos convictions en matière de développement de la liberté au service de la création de richesses, de l'emploi et évidemment du développement de nos entreprises.
Je vous rejoins sur un certain nombre de points, notamment sur l'idée que la réponse pour 2012 ne peut passer par la relance de la dépense publique. Plus aucun pays, que son gouvernement soit de gauche ou de droite, ne propose aujourd'hui de soutenir l'activité économique par une relance de la dépense publique. C'est un temps qui est derrière nous : c'est la grande leçon de la crise de 2009, dont la réplique se fait aujourd'hui sentir dans la zone euro.