Je le redis : il ne faut pas oublier la violence de la crise que nous subissons aujourd'hui. Malgré cette crise, la France consacre 5,1 % du PIB à la politique familiale, et non 3,7 % comme vous l'avez dit, soit 100 milliards d'euros, conformément aux souhaits du Président de la République.
Maintenir la politique familiale à ce niveau requiert un effort considérable. À ce titre, nous devons en avoir une certaine fierté, comme M. Juanico l'expliquait tout à l'heure.
J'en viens à la question de la scolarité dès l'âge de deux ans. Le code de l'éducation dispose que : « Tout enfant doit pouvoir être accueilli, dès l'âge de trois ans, dans une école maternelle ou une classe enfantine ».