Il semble que les différentes administrations n'interprètent pas de la même façon les dispositions des conventions internationales relatives à la kafala. Dans ces conditions, nous aurons du mal à avancer.
L'accueil d'enfants par kafala semble plus facile lorsqu'ils sont originaires d'Algérie, en raison de l'existence d'un accord bilatéral. Le gouvernement marocain est-il prêt à assouplir son interprétation de la kafala et à l'assimiler à l'adoption simple, ou est-ce toujours un sujet tabou ?