Nous avions un accord avec la direction générale de la santé (DGS) pour qu'une partie des 9 millions de doses que nous avions déjà livrées soit allouée à l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et des livraisons ont été effectuées vers quatre ou cinq pays qui en avaient fait la demande auprès des autorités françaises.
Quelques livraisons ont également été faites pour la partie qui nous reste en stock, mais le conditionnement spécifique des vaccins pour la France rend leur réutilisation difficile, d'autant que nous n'avons pas eu de demande de pays francophones.