Le flux de livraison des vaccins a d'abord concerné le Pandemrix, avec des boîtes de 500 doses. Pour démarrer la vaccination dans les 1 000 centres, 5 millions de doses environ étaient nécessaires.
Le conditionnement est le gage de la traçabilité. Pour faire le parallèle avec la chaîne pharmaceutique des 22 600 officines, le pharmacien aurait dû dépaqueter la boîte de 500 doses et le besoin aurait été de 11 millions de doses. Autrement dit, plus vous augmentez la capillarité du système, plus il faut de doses.
Nous avons eu les 5 millions de doses vers le 12 novembre – en semaine 46. Or, l'idée n'était pas de lancer la vaccination coûte que coûte dès la livraison de la première dose de vaccin, mais d'assurer un approvisionnement régulier pour éviter une rupture de stock.