La question du local est un bon exemple de ce qui aurait pu être réglé si nous avions été associés à la phase de préparation. Je me suis porté volontaire au mois de juin mais n'ai été convoqué à la préfecture des Landes que le 8 novembre, alors que la campagne commençait le 12. Le 8 novembre, je ne connaissais rien. J'ai pris contact avec la mairie de Capbreton, et le directeur général des services municipaux m'a montré le local retenu par le personnel de la préfecture. Ayant un peu l'habitude des vaccinations de masse, j'ai tout de suite vu qu'il ne convenait pas. Comprenant trois petites pièces desservies par un couloir, il était même dangereux en cas d'afflux de personnes. J'ai immédiatement demandé au maire de pouvoir changer de local. Je voulais le faire avant le début de la campagne. Le préfet s'y est opposé. Comme les convocations avaient été envoyées, il m'a demandé de démarrer la vaccination dans le local prévu à cet effet et de changer en cours de campagne si j'avais des difficultés. J'avoue que le déménagement nous a passablement perturbés.