Notre pays a la chance de connaître deux miracles : un fort taux de natalité et un taux élevé d'activité des femmes. Bien évidemment, il n'est pas question de toucher à la politique familiale de la France. Le MEDEF ne souhaite pas une baisse des allocations familiales, ni en volume ni en qualité, mais leur transfert.
Nous explorons deux pistes principales.
D'abord, nous travaillons sur les réformes structurelles à mettre en oeuvre en matière de famille et d'assurance maladie, en réfléchissant à la manière de mieux utiliser l'enveloppe financière dans ces deux domaines, sans toucher à la qualité du modèle social français.
Je précise que si la suppression des niches – un des axes de la réflexion en cours – doit se traduire par une augmentation des cotisations, nous y serons opposés.
Ensuite, nous travaillons sur les modes de transfert les plus adaptés.