Les médecins généralistes n'ont pas été réquisitionnés à Paris, car il était convenu qu'il fallait maintenir le système de soins pour les personnes malades, qu'elles soient touchées par la grippe ou par une autre pathologie d'ailleurs.
S'agissant des instructions nationales, lorsque j'ai dit qu'à l'avenir, elles seraient diffusées plus tôt, ce n'était pas un reproche : il s'agissait d'expliquer que de nombreuses décisions avaient été prises avant l'été, car il était nécessaire de les prendre, mais la première circulaire ministérielle a été diffusée à la fin du mois d'août.
S'agissant de mon départ, je dirai qu'il n'était pas programmé : le directeur de cabinet de la ministre m'a expliqué qu'on me reprochait de ne pas avoir su mobiliser les internes de l'Assistance publique – Hôpitaux de Paris. Pourtant, sur ce point, les pouvoirs de la direction départementale des affaires sanitaires et sociales sont limités.