Deux situations auraient été possibles. À notre connaissance, elles n'ont pas eu lieu.
Premièrement, il aurait pu y avoir une saturation des services de réanimation car les malades graves de la grippe avaient besoin d'un matériel d'oxygénation extracorporelle et de longues durées d'hospitalisation, notamment en réanimation, dans une période où la population était touchée par la grippe saisonnière, les gastro-entérites et les bronchiolites. Or, si certains services ont été pleins, on n'a pas connu de saturation.