Sans doute. Cela dit, autant, depuis l'épisode de la grippe aviaire, nous avons réfléchi à la gestion de situations fortement dégradées, comportant de nombreuses fermetures d'établissements, autant la réflexion mérite encore d'être développée sur les situations de perturbations ponctuelles, concernant une classe ou une école ici où là.
Enfin, pour le personnel du rectorat, l'expérience de la gestion d'un gymnase a été positive et relativement bien perçue. Ce gymnase vaccinait entre 600 et 700 personnes. Nombre de personnels mobilisés en ont tiré un sentiment de fierté d'accomplir un service public, ce que nous n'imaginions pas au début. Pour chaque journée, y compris pendant les vacances, nous avons trouvé l'effectif nécessaire. De vraies équipes se sont formées.