Nous n'avons pas compté le nombre d'impressions, mais le nombre de retours.
Nous avons choisi cette solution pour des raisons de traçabilité des opérations, souhaitée par le ministère, et de pharmacovigilance. À l'époque, on envisageait une vaccination en deux injections, avec la contrainte que la deuxième injection soit identique à la première. Le système retenu permettait d'interroger la base pour connaître la nature de la première injection. Tout cela s'est décidé en juin et juillet. La précaution que nous avons prise a été de prévoir une part variable dans le paiement.
Dans le même temps, le 8 juillet 2009, les ministres nous ont demandé de faire une avance de 879 millions d'euros à l'Établissement public de réponse aux urgences sanitaires.