Non. Pour nous, le plus important à l'avenir est que, en cas de pandémie, les pays se fassent confiance et définissent une stratégie commune : on n'arrête pas les virus aux frontières des États, comme l'Ukraine a cru pouvoir le faire en fermant les siennes. C'est pourquoi nous travaillons aussi avec l'Organisation mondiale de la santé, même si on ne peut espérer placer tous les pays du monde au même niveau. Notre but est que, sur le plan communautaire, les êtres humains bénéficient d'une protection au moins équivalente à celle des animaux.