S'ils n'avaient pas été achetés à cette date, on aurait pu considérer que le jeu n'en valait pas la chandelle.
Mais, dans l'évaluation du bénéfice d'une vaccination, on prend en compte le coût des vaccins, leur efficacité et les risques encourus. En septembre, le coût des vaccins était nul puisqu'ils avaient été achetés et qu'ils venaient d'être livrés, et les risques étaient également nuls. Donc rien ne s'opposait à ce que tout le monde soit vacciné.
Je vous signale que la décision de vacciner tout le monde avait été prise très tôt par la ministre de la santé.