Pas seulement : au terrorisme en général.
S'agissant des produits devant être gérés par l'ÉPRUS et des capacités de mobilisation des professionnels concernés – tel était le sens de la réserve sanitaire dans l'esprit du ministre qui avait défendu le texte en 2007 –, le terrorisme était expressément visé, même s'il est vrai que chacun avait dans l'esprit les problèmes liés aux pandémies – nous sortions du SRAS et voyions se profiler la grippe H5N1.
Compte tenu de mes activités antérieures et de mon expérience, j'avais une conception précise de la manière de procéder : lorsque j'ai compris que celle-ci n'était pas partagée par ma hiérarchie et que je n'aurai pas le dernier mot, j'en ai tiré les conséquences.
Que l'ÉPRUS, aujourd'hui, remplisse déjà ses missions ! Toutefois, comme je vous l'ai dit, je ne maîtrise plus le sujet, n'ayant même pas eu connaissance de la convention régissant désormais les relations entre l'administration centrale et l'établissement que je dirigeais.