Juste un mot pour expliquer pourquoi cela s'est particulièrement mal passé en Île-de-France. Tout d'abord, la région regroupe un sixième de la population française. Ensuite, c'était la préfecture qui décidait, la direction régionale des affaires sanitaires et sociales n'étant chargée que d'appliquer les décisions prises, sans aucune marge de manoeuvre, alors qu'elle n'en avait pas vraiment les moyens. La direction régionale des affaires sanitaires et sociales, en dépit de sa bonne volonté, a été complètement dépassée.