Madame Samia Ghali, nous plaçons des « bannières », par l'intermédiaire d'une centrale d'achat, sur des sites internet fréquentés par les jeunes. Le coût peut atteindre un million d'euros.
Comment exercer notre mission de prévention auprès de jeunes que rien, a priori, ne pousse à consommer ? Il faut savoir que les programmes les plus sophistiqués ne parlent pas de drogue. En visant le bien-être des populations – amélioration du fonctionnement de l'école, réduction de l'échec scolaire – ils visent la réduction de la consommation.
Je transmettrai à la mission d'information les chiffres concernant la répartition, par catégorie sociale, des usagers de drogues.