Il faut tenir compte de ce que j'appelle le « syndrome de Tchernobyl ». Dans n'importe quel contexte de crise fortement médiatisée, on ne croit plus les autorités en France, réputées mentir. Pour que la communication officielle soit crue, elle doit être cautionnée par des instances extérieures. Cette analyse est peut-être un peu excessive, mais elle n'est pas loin de la réalité.