C'est cette réforme et cette modernisation que j'ai mises en oeuvre depuis un an et demi en m'appuyant sur vos contributions, mesdames, messieurs les députés, et sur celles des professionnels de santé. Gérard Bapt, je ne suis pas d'accord quand vous dites que c'est un jeu de dupes. Au contraire, seul un ensemble de mesures consensuelles et structurantes nous permettra de moderniser notre offre de soins ambulatoires et de répondre aux attentes de nos concitoyens.
Par ailleurs, je remercie Richard Mallié d'avoir rappelé que l'implantation des jeunes médecins était largement influencée par le lieu où ils avaient accompli leurs études : 70 % d'entre eux exercent en effet au plus près de leur ancienne faculté. C'est la raison pour laquelle – je réponds ainsi également à André Chassaigne – j'ai augmenté le numerus clausus de façon très significative, mais pas uniforme.