Et d'autres intervenants également, bien entendu, monsieur Jardé. (Sourires.)
À ceux qui sont tentés par des mesures coercitives, je dis ceci : si votre ambition pour la santé de nos concitoyens est de leur attribuer de force, pendant un temps limité, des médecins qui ne veulent pas les soigner parce qu'ils attendent de partir s'installer dans le lieu de leur choix, c'est une option erronée, et je m'y opposerai avec la dernière énergie.(Exclamations sur les bancs du groupe SRC.)