C'est bien parce que les médecins et autres professionnels de santé ont eu des réticences à s'engager dans la campagne de vaccination que je parle d'une occasion manquée. On avait là une chance de les mobiliser pour une importante action de santé publique, mais cela supposait de ne pas attendre septembre ou octobre pour les solliciter : il fallait les associer à la préparation de la circulaire du 21 août et, plus largement, à l'élaboration de la stratégie. Leurs réticences auraient alors été moindres.