Vous évoquez l'investissement dans les infrastructures. C'est exactement l'objet du plan de relance dont Patrick Devedjian a la responsabilité : développer des infrastructures, financer des projets, aujourd'hui opérationnels.
S'agissant du pouvoir d'achat, monsieur Lecoq, nous avons, à l'occasion de la réunion du 18 février avec les partenaires sociaux, concentré nos efforts précisément sur ceux qui sont le plus exposés aux conséquences de la crise. Comment ?
D'une part, en proposant de relever l'indemnisation du chômage partiel à 90 %. – c'est extrêmement important –, et en associant au chômage partiel de la formation professionnelle, parce que nous souhaitons que les salariés qui sont victimes de la crise par la voie de licenciements économiques puissent accéder à plus de formation.