Indépendamment des propos de nos collègues, se pose le problème de la continuité des soins.
En urgence, il peut être capital de disposer d'une kaliémie ou d'une gazométrie pour ne pas faire de geste contraire à l'intérêt du patient dans une situation donnée.
Or quelle assurance aurons-nous si les services hospitaliers disparaissent progressivement et n'assurent plus le service vingt-quatre heures sur vingt-quatre ? Quelle assurance aurons-nous de la part du groupe privé qu'il sera en mesure de répondre dans ces conditions-là à l'impératif de soins ?