Nous avons auditionné plusieurs directeurs généraux de la santé, dont l'actuel : ils sont très pris par le quotidien et pensent n'avoir aucun pouvoir sur le ministère du travail et de l'éducation nationale – et sans doute peu sur la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés.
Au moment de la création des agences régionales de santé, l'idée a été lancée d'une Agence nationale de santé. On pourrait envisager que son directeur, ayant un pouvoir sur l'ensemble des intervenants, s'occupe de la prévention.