Je tiens à saluer sa capacité d'écoute et sa volonté d'amender le texte du Gouvernement.
Nous ne pouvons, pour finir, que souhaiter, à l'instar du professeur Olivier Beaud dans la conclusion de sa contribution intitulée : « Irresponsabilité et immunité du Président de la République sous la Ve République », parue en 2008 dans un ouvrage dont l'un des coauteurs est le président de l'Assemblée, que cet article n'aura pas à être trop souvent sollicité. Et, surtout, qu'il n'éloignera pas de l'essentiel, à savoir la réactivation et l'approfondissement du sens de la responsabilité politique de ceux à qui échoit l'honneur de présider la République.