Les syndicalistes ont, eux aussi, le droit de s'exprimer, et permettez-moi, mes chers collègues, de les écouter et de les entendre. Et faites tout de même confiance aux présidents des tribunaux de grande instance. Il me semble que vous participez tous aux séances solennelles de rentrée et, donc, que vous entendez les présidents des tribunaux de grande instance expliquer qu'il y a des déficits en matière d'effectifs. Mais soit vous ne voulez pas les écouter, soit vous n'êtes pas capables de relayer leurs problèmes à l'Assemblée nationale alors que c'est votre devoir de représentants du peuple ! (Même mouvement.)