Ne me faites pas dire ce que je n'ai pas dit. Il faut accepter les résultats des élections pour autant que celles-ci se soient déroulées dans des conditions satisfaisantes. Si, cette condition étant remplie, les islamistes l'emportent, il faut l'accepter. Les dernières élections en Tunisie par exemple ont été tout à fait libres et démocratiques.
Il existe une structure pouvant s'apparenter à une Internationale des Frères musulmans, dont le poids est limité. Son leader, Mohammed Badi, ne donne pas de consignes qui seraient suivies par les différentes branches nationales.