…afin que l'on ne puisse plus rien dire.
Avec le Président de la République, ce n'est même plus le parlementarisme rationalisé ou encadré, c'est le parlementarisme muselé et bâillonné. Vous rêvez de nous fermer la bouche comme Mozart l'avait fait à Papageno, mais si ce dernier avait fini par être délivré, pour notre part nous n'avons pas du tout l'intention de nous laisser faire ! Nous voulons garder notre liberté de parole afin de continuer à animer le débat politique et de rassembler les Français pour défendre les droits acquis par notre peuple lors de batailles précédentes.