Monsieur le ministre, vous avez deux bonnes raisons de vous réjouir de me voir monter à la tribune. La première est que je suis le dernier orateur inscrit, donc le dernier à solliciter votre patience et votre attention. (Sourires.) La deuxième est que la proposition que je vais vous faire afin de répondre à un problème majeur ne coûte rien.