a souligné que le déploiement du haut et très haut débit sur l'ensemble du territoire français était aussi un facteur d'aménagement et de développement durable, dans la mesure où il évitait certains déplacements et facilitait le télétravail. Il a réitéré ses craintes sur le fait qu'une répartition trop inégalitaire du dividende numérique à l'avantage des services audiovisuels ne conduise à priver certaines zones rurales de l'accès au haut et très haut débit pour offrir un nombre pléthorique de chaînes, dont l'intérêt pour les populations n'est pas aussi crucial. Il a demandé au président de l'ARCEP si, en complément de la nécessaire harmonisation européenne, des dispositions ne devaient pas être prises au niveau national pour éviter cette situation.