Je rappelle aussi aux organisations syndicales qu'un amendement à la loi dite Aubry 2 prévoyait de faire de l'articulation entre vie privée et vie professionnelle un élément de l'agenda social, mais cela a été oublié. Je suis pour ma part favorable, sur ces questions, à des négociations quadripartites : entre chefs d'entreprise, organisations syndicales, collectivités locales et usagers des services publics.