La réticence des femmes à l'égard des quotas s'explique par leur crainte d'être réduites à un rôle de potiches. Les hommes, eux, ne se posent jamais cette question : ils prennent les places disponibles sans se demander s'ils sont compétents ou non. Cela étant, je ne pense pas qu'imposer des quotas soit la bonne solution. D'ailleurs le texte serait retoqué par le Conseil constitutionnel…