Qu'il s'agisse de Nicole Notat ou de la présidente d'AREVA, on constate que la présence d'une femme à la tête d'une organisation ne suffit pas à faire avancer la cause de l'égalité…
Le manque d'intérêt des syndicats pour l'articulation entre vie privée et vie professionnelle s'explique par les mentalités et par la sous-représentation syndicale des femmes. La charge des enfants continue de peser essentiellement sur les femmes, qui doivent refuser les horaires de travail aberrants et les réunions du soir, souvent interminables et d'ailleurs peu efficaces.