En effet. Après que les pompiers municipaux ont fait preuve de leur inefficacité, il y a eu militarisation.
Aujourd'hui, la ville de Marseille finance le coût du bataillon par un remboursement au ministère de la défense, mais, en contrepartie, elle ne participe pas au financement du SDIS, contrairement aux autres communes des Bouches-du-Rhône.
J'estime que l'intérêt de la ville de Marseille est de maintenir une étanchéité entre ces deux financements.