Monsieur le secrétaire général, je vous félicite pour la clarté de votre exposé. En Afrique, on voit bien se mettre en place la nouvelle architecture de la présence française à Libreville, Djibouti et Abou Dhabi, au détriment de Dakar et de quelques autres emplacements. Qu'en est-il, à moyen terme, de la présence française à N'Djamena, vouée à disparaître selon le Livre blanc de 2008 ? Ne faut-il pas reconnaître aujourd'hui la nécessité du maintien d'une présence française pérenne dans cette zone ?