Elle aussi varie d'un département à l'autre. Même si la médecine scolaire n'est pas de notre compétence, nous menons des actions en ce domaine via la protection maternelle et infantile et, à ce propos, il ne serait pas inutile de clarifier la répartition des tâches entre les deux auteurs concernés. Le bureau de l'Assemblée des départements de France s'est même demandé un moment si les conseils généraux ne devraient pas assumer la compétence de la médecine scolaire, car, s'il est clair que nous ne sommes pas en état d'en assumer le financement, il ne serait pas illogique que nous continuions à suivre les enfants une fois qu'ils sont scolarisés.