La France, en tant que pays des droits de l'homme, n'est pas restée silencieuse à l'égard de la tragédie et de la répression sanglantes dans lesquelles est plongée la Syrie : elle a salué la création du CNS.
Mais notre pays est aussi celui de la laïcité, fondée sur la séparation entre le politique et le religieux et la tolérance vis-à-vis des cultes. Quelle est la position du CNS à l'égard de ce principe ? Ne peut-on craindre une islamisation du mouvement de contestation ?