La nouveauté, c'est la dotation en capital, en fonds propres, de 80 milliards d'euros, dont la France financera 20 %, c'est-à-dire 16 milliards. Cette injection de fonds propres n'était pas à l'ordre du jour lorsque l'on a annoncé 1 000 milliards d'euros à l'issue du sommet de Cannes. Reste que nous en sommes à espérer, comme à Cannes, que des fonds souverains viennent abonder le mécanisme ; or, à Cannes, les Chinois et les Brésiliens nous ont opposé une fin de non-recevoir. Mais peut-être changeront-ils d'avis…