Je partage votre analyse, monsieur le ministre : la conséquence de la participation du secteur privé était une anticipation de la dépréciation des dettes d'État pouvant aller jusqu'à l'engagement de fonds propres pour les garantir. On serait entré dans une mécanique infernale si on n'avait pas engagé un processus de rétablissement de la confiance dans les dettes d'État.
Par rapport au FMI, l'accord de Bruxelles diffère légèrement de l'accord franco-allemand. Qui appréciera une nouvelle défaillance éventuelle sur la Grèce ? Celle-ci est-elle isolée du reste de la décision ? Le cas grec ayant été traité avant l'accord, des dépréciations supplémentaires sont-elles possibles, impliquant des prises en charge supplémentaires ?
Par ailleurs, que devient le dossier Dexia à Bruxelles ?