Alors que l'agence régionale de santé avait réussi à mettre d'accord les médecins et les pharmaciens, le blocage tient à ce que la Caisse nationale d'assurance maladie des travailleurs salariés ne dispose pas des fichiers qui lui permettraient de connaître sur une durée suffisante l'historique de la vaccination de ses assurés – données que fournirait le dossier pharmaceutique. On nous a également opposé le fait que le vaccin a le statut de prescription médicale obligatoire et que le pharmacien n'est pas prescripteur. Ces arguments devraient être rapidement écartés face aux risques encourus.