Un consensus se dégage pour estimer que la prévention primaire exige d'agir sur les comportements et donc sur les déterminants culturels, sociaux, environnementaux, éducatifs, professionnels, etc. Pour ce faire, il faut une coordination entre tous les acteurs. À de nombreuses reprises, il a donc été préconisé de confier la responsabilité de la politique de la prévention à une autorité unique, à une sorte de délégation interministérielle qui pourrait être confiée au directeur général de la santé.
Ce même souci de coordination impose aussi de pouvoir partager l'information à l'intérieur d'un véritable parcours de soins, conçu de façon globale…