La commission du Livre blanc de 2007-2008 avait associé le Parlement et c'était une très bonne chose. Je considère – mais ce n'est pas à moi d'en décider – que les travaux de révision du Livre blanc après les échéances de 2012 devront également associer le Parlement. S'agissant du présent exercice, compte tenu des délais et de son caractère purement administratif, il ne nous a pas paru possible d'aller au-delà de ce que je fais ce matin et de ce que je ferai devant la commission des affaires étrangères, la semaine prochaine, puis devant la commission de la défense et des affaires étrangères du Sénat.