Sur les solutions possibles, je n'ai rien à ajouter aux propos d'Éric Jalon, dont l'administration est la première concernée. J'indiquerai simplement que, pour choisir la bonne, nous avons besoin d'un état de l'art extrêmement précis. Nous l'avons établi pour les emprunts indexés sur le franc suisse, les banques en ont fait une partie de leur côté, mais les chiffres sont assez hétérogènes et le moment où la situation va se dégrader diffère selon les produits souscrits. Nous sommes prêts à y travailler plus largement pour aider les autres services de l'État ; mais il faudra également que les banques nous fournissent leurs données. Quoi qu'il en soit, aucune des trois voies que vous avez évoquées ne pourra servir de solution universelle, car les situations, les engagements souscrits et les dates de fin de bonification sont très variables. Seul un état des lieux complet permettra à chaque structure de choisir l'une ou l'autre de ces formules.