Les ports d'outre-mer fonctionnement plutôt bien – leur chiffre d'affaires a sensiblement augmenté en 2010 –, sans oublier que l'élargissement du canal de Panama laisse augurer des perspectives intéressantes.
L'amendement CD 10 ne me semble pas aller dans le sens de la réforme dont l'un des objectifs est justement de pouvoir nommer au sein du conseil de surveillance une personnalité n'ayant pas de lien avec l'activité de commerce maritime et portuaire. J'y suis donc défavorable. Ainsi, dans le cas où un port serait confronté à de sérieux problèmes de gestion financière, un expert-comptable reconnu pourrait être très utile au sein du conseil de surveillance.