Le coût que j'ai mentionné pour le quart le plus toxique n'est pas annuel : il est unique, non récurrent. L'encours toxique est aujourd'hui estimé à 15 à 18 milliards ; la décote de ces produits sur le marché est de 25 à 40 % ; pour en transformer la totalité en produits « normaux », il faudrait débourser au moins 4 milliards d'euros.